No woman's land

Titre : No woman's land

Auteur : Shiiba-san et Nyy

Genre : Yaoi, romance, drama, et tout autre à venir

Parring : houla --"

Mot de l'auteure Shiiba-san : Alors l'idée viens de moi, hihi, bref j'ai eu l'idée de co-écrire avec Nyy, J'écris un chapitre, elle écrit le suivant, elle fait ce qu'elle veut des personnages, peut les tuer ou autre, les rendre vampires. Le chapitre 1 sera fait par moi, j'ai commencé simplement sans l'avie de Nyy, le chapitre 2, elle le fera sans mon avie et ainsi de suite. Par contre, pas de mise en scene de Viols ou de scene trop violente.
Je commence par le prologue, bonne lecture !!!

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Flash info :
12 juillet 2000
Ici Uta Kashi sur Fugi. Nous venons de recevoir un message des Etats-Unis. Une bombe bactériologique vient ‘échouer sur eux. Nous ne connaissons pas encore l’ampleur des dégâts mais nous pouvons déjà constaté la destruction de beaucoup de bâtiments. Un énorme fossé du à la bombe prend plusieurs hectare que nous transmet Josh Mayers, en direct des Etats-Unis. Au mon dieu, des nouvelles images vient d’apparaître, la France vient de subir le même sort, avec les autres pays de l’Europe aussi touché, le Canada, et l’Australie aussi. Je tiens à vous dire cher habitant du Japon…

[Impact au Japon à 18h47]

14 août 2000 :
Ici Uta Kashi sur Fugi. Nous décomptons en ce jours 3 millions de femmes décédées. L’attaque bactériologique à atteint tout les pays du monde, touchant seulement les femmes. Que va devenir l’Homme. Reportage avec notre reporter Hitomi Rama :
« En effet, nous ne comprenons pas ce qui ce passe, nous comme ici à l’hopital cental de Tokyo, nous voyons les femmes se tordrent de douleur, aucun médicament n’est efficace, les meilleurs biologistes cherchent un antidote. Les couloirs, les morgues sont pleines, de femmes, d’enfants ou d’adolescente. C’est la fin, l’espoir de l’homme est vain. »

27 août 2000 :
Ici Uta Kashi sur Fugi. Nous décomptons en ce jours plus que 300 femmes encore en vie dans le monde entier.

8 septembre 2000 :
Ici Uta Kashi sur Fugi. Il ne reste plus aucune femmes, que va devenir l’homme, l’espèce humaine va-t-elle disparaître à jamais ?! 500 000 hommes environ se sont donnés la mort en seulement 5 jours.

29 mars 2003 :
Ici Uta Kashi sur Fugi. L’espoir fait revivre, remercions le docteur ici présent avec moi, Dr Stingrad, venant tout droit des Etats-Unis. Alors parlez nous de votre trouvaille.
« cher homme, après l’attaque bactériologique d’il y a plus de 2 ans, certain hommes on était touché devenant ainsi fécondables par d’autres hommes. Je vous propose de lire ce livret que vous trouverez dans toute les pharmacie à partir de demain, pour savoir comment faire le test pour savoir si votre fécondité existe. On va former de nouveau médecin, apte pour vous aider durant ces 9 mois de grossesses nouveau pour nous tous. La descendance va revivre. Merci à vous hommes de cette planète. »

Titre : No woman's land

Auteur : Shiiba-san et Nyy

Genre : Yaoi, romance, drama, et tout autre à venir

Parring : houla --"

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Chapitre 1, by Shiiba-san

Nous sommes en 2026, 23 ans après la découverte du Dr Stingrad, depuis tout ce temps, la population à pus augmenter, et l’homosexualité, devenu banale, enfin normale, il n’y a plus de femmes. Je suis ravie, moi, Shiiba, de vous présenter cette nouvelle fan-fiction, co-écrite avec ma chère amie Shury [Nyy]. Cette fic, regroupe des j-rockers, dans leur vie et états les plus fou…Bonne lecture.

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- Maman ! Maman ! Regardes mon dessin, l’est beau hein ? Hein ?
- Kyoshi lâche ta mère veux-tu !!

Le dit Kyoshi fit une moue adorable. Un petit garçon de 5 ans pourtant sage à l’école avec le sensei, était un vrai petit diable à la maison. Une maison simple, avec deux étages où vivait la famille Joyama. Aoi, père de famille exemplaire, grand, brun, souriant vient d’avoir 30 ans. Son mari et mère et ses enfants, Uruha, un grand châtain, doux, avait 27 ans. Tout deux sortaient de la cuisine avec quatre bols remplis de boisson chaude, dans les mains, les déposant sur la table du salon où deux petits morfales s’impatientaient, le premier des deux, Kyoshi sautait sur sa chaise, faisant voler ses cheveux ébènes qu’il avait hérité de son père,. Le portrait craché d’Aoi, au contraire de son frère aîné, Ryeko qui était calme comme sa mère malgré ses 8 ans, et tout aussi châtain. S’asseyant tous à table, le petit déjeuné commença.

- Uruha, tu as écrit le chapitre suivant ?

Ce dernier tourna sa tête lentement vers Aoi, mimant un air outré…

- tu crois que j’ai le temps, entre le médecin, les écographies et les deux monstres…
- on est pas des montres…
- non en effet Kyoshi, je ne suis pas un monstre, toi si.
- Ryeko arrête ça de suite.

Ryeko tira la langue à son petit frère qui se mit à pleurer. Aoi sentant que son mari allait lâcher dit à Ryeko de sortir de table, pour aller mettre son uniforme, puis il prit Kyoshi dans ses bras, qui s’arrêtait doucement de pleurer, lui disant à lui aussi de partir s’habiller. Voyant Uruha la tête baissé sur son bol, Aoi s’approcha, se mettant face à lui, à genoux, lui caressant les cheveux amoureusement.

- ça va ?
- oui, c’est juste les nerfs, et j’arrives bientôt au sixième mois, il est lourd.

Aoi rigola, tout en posant sa main sur le ventre de nouveau gonflé de son amant.

- j’emmène les petits à l’école, et puis pour ton livre, on peu attendre ne t’inquiètes pas.

- passe une bonne journée, je t’aime
- moi aussi

Après avoir déposé un tendre baisé sur ses lèvres, Uruha ferma la porte de sa maison. Le ménage s’imposait, ainsi qu’une bonne douche. Shou et Ruki n’allaient pas tarder à lui rendre visite, pour parler autour d’un bon café.

9h45 pétante, la sonnette se fit entendre. Uruha accueillit ses deux invités comme il se doit. S’asseyant sur le canapé, avec une tasse de thé dans les mains.

- Alors Shou, comment avance l’enquêtes ?!
- pas très vite, ça fait deux semaines qu’il a disparu et toujours rien, il me manque vraiment tu sais !

Ruki posa une main chaleureuse sur l’épaule de son ami qui avait baissé la tête.

- ton frère nous manque aussi.
- on retrouvera Hiroto j’en suis sur Shou !

Ce dernier leva la tête devant l’homme au ventre arrondit par sa grossesse.

- je l’espère aussi.

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- Lève toi Toshimasa dépêche toi, tu es déjà en retard !!!

Yoshiki secouait son fils aîné, en vain, ce dernier refusant d’ouvrir un œil. Mais après avoir ouvert les rideaux d’un coup vif, permettant à la lumière du jours d’entrer dans la chambre, Toshimasa se décida enfin à ouvrir les yeux.

- qu’est-ce qu’il y a maman ?!
- mon chéri, tu as déjà 30 minutes de retard, Miyavi et Kanon sont déjà partis au collège, tu devrais leurs montrer l’exemple ! Tu es quand même au lycée.
- je sais désolé.

Sortant du lit, Toshimasa se dirigea directement vers la salle de bain. Sa « mère », déjà redescendu s’apprêtant à partir au travail. Yoshiki travaillait dans une agence de mannequina renommé, accueillant les plus grand, comme Hideto Matsumoto ou encore Ueda Tetsurou [Iori]. En haut, Toshimasa pesté contre lui-même, énervé de pas s’être levé, il allait encore subir les sous entendus graveleux de son ami Daisuke. Coiffant une dernier fois ses long cheveux noirs, il agrippa son sac de cour et partit en courant pour son lycée.

Courant dans les couloirs à vive allure, il s’engouffra dans la cage d’escaliers. Mais se retrouva vite le dos contre le sol, allongé, avec un poids sur lui. Il avait percuté quelqu’un de plein fouet. Sortant de son choc, il se mit sur ses coudes, mais à peine eu t-il relevé la tête, qu’il tomba dans deux orbes qui le fixait sous une masse de cheveux blond. Le nouveau, Tooru Niimura, un mec renfermé, qui avait tout de suite tapé dans l’œil expert de Toshimasa. Il était vraiment mignon, même si ses nombreux piercing pouvait effrayé, Toshimasa les aimaient.

- ano…désolé Niimura.
-…

Les yeux du blond fixait toujours le brun, la bouche ouverte, assis en califourchon sur lui. Position que Daisuke aurait pas oubliée s’il avait été là.

- c’est moi…je courrais aussi…et puis je t’avais vu Toshimasa
- quoi ?!
- …

Les yeux de Toshimasa s’ouvrirent en grand, son cœur battait de plus en plus vite, dû à la position étrange mais aussi à l’aveux de Tooru, il l’aurait fait exprès. Mais avant de dire quoi que ce soit, il sentit les lèvres de Tooru se poser timidement sur les siennes pendant un court instant. Un court instant de bonheur. Gardant les yeux fermés, il sourit, le cœur en ébullition. Quand il les ouvrit, Tooru était toujours sur ses jambes, le fixant les joues rouges écrevisses. Le brun s’approcha vivement de Tooru, à seulement quelques millimètre de ses lèvres, leurs regards encrés dans celui de l’autre.

- tu peux m’appeler Toshiya..
- …Kyô…

D’un souffle difficile, le dit Kyô avait parlé avant que Toshiya soude à nouveau leurs lèvres dans un baiser plus entreprenant, laissant cette fois ci leur mains en action. Tout deux toujours dans les escaliers, le corps fiévreux de leurs baisers ardent.

fouiiii ^-^

'va faloir que j'me mette au chap 2 moi xD

» Flood party, flood land... plein de flood quoi xD